XIII. Alfonso-Jaime ( Alfonso ) de Borbón-Segovia y de Dampierre puis de Borbón y de Dampierre, duc de Bourbon et duc de Bourgogne ( selon la tradition légitimiste française ), duc de Cadix et altesse royale, roi titulaire légitimiste de France et de Navarre sous le nom d' Alphonse II avec le titre de duc d' Anjou

Fiche type CEDRE Port

Fiche type CEDRE Port

Filiation

I. Henri IV de France " le Grand ", roi de France ( Henri IV ), roi de Navarre ( Henri III )
II. Louis XIII de France " le Juste ", roi de France et de Navarre
III. Louis XIV de France " le Grand ", roi de France et de Navarre
IV. Louis de France le " Grand dauphin ", prince de France, dauphin de France
V. Philippe ( Felipe ) V de France et d' Espagne, duc d' Anjou, roi d' Espagne, roi de Naples et de Sicile ( Philippe IV )
VI. Charles ( Carlos ) III d' Espagne, roi de Naples sous le nom de Charles VII et roi de Sicile, roi d' Espagne
VII. Charles ( Carlos ) IV de Bourbon de Naples et de Sicile puis d' Espagne, roi d' Espagne
VIII. François de Paule d' Espagne, infant d' Espagne, duc de Cadix
IX. François d' Assise d' Espagne, infant d' Espagne, roi d' Espagne à titre honorifique
X. Alphonse ( Alfonso ) XII d' Espagne, roi titulaire d' Espagne ( roi " des Espagnes ), roi d' Espagne puis roi constitutionnel d' Espagne
XI. Alphonse ( Alfonso ) XIII d' Espagne, roi constitutionnel d' Espagne, roi titulaire légitimiste de France et de Navarre ( Alphonse I )
XII. Jacques ( Jaime ) d' Espagne, infant d' Espagne, duc de Ségovie, roi titulaire légitimiste de France et de Navarre ( Jacques Henri VI ), duc d' Anjou, de Madrid et de Tolède ( proprio motu )

Dynastie

Capétiens

Maison

Maison royale de France

Famille ( s ) souveraine ( s )

France ( selon la tradition légitimiste française )

Branche

Maison de Bourbon

Ligne

Rois d' Espagne

Rameau

Rois d' Espagne

Nom

Borbón-Segovia y de Dampierre puis de Borbón y de Dampierre ( de )

Prénom ( s )

Alfonso-Jaime ( Alfonso )

Sexe

Masculin

Titre ( s )

Devenu Alfonso-Jaime de Borbón y de Dampierre le 6 juillet 1979, créé duc de Bourbon et duc de Bourgogne par son père selon la tradition légitimiste française le 25 novembre 1950, ( 1 ), créé duc de Cadix et altesse royale pour lui et ses descendants par le décret 3.226 / 1972 du chef de l' Etat espagnol en date du 22 novembre 1972 ( 2 ), roi titulaire légitimiste de France et de Navarre sous le nom d' Alphonse II à la mort de son père le 20 mars 1975 avec le titre de duc d' Anjou ( il reprend à cette occasion le titre de son père le 3 août 1975 ), ( 3 ), ( 4 ), ( 5 )

Père

XII. Jacques ( Jaime ) d' Espagne, infant d' Espagne, duc de Ségovie ( renonce à ses droits au trône royal d' Espagne et à ses titres ), roi titulaire légitimiste de France et de Navarre sous le nom de Jacques Henri VI, duc d' Anjou, de Madrid et de Tolède ( proprio motu )

Mère

Emanuela de Dampierre

Né ( e )

20 avril 1936 en la clinique Santa-Anna, via Garigliano 55 à Rome ( Italie )

Baptisé ( e )

1936 ( 6 )

Fiancé ( e )

23 décembre 1971 au palais du Pardo près de Madrid

Marié ( e )

8 mars 1972 en la chapelle de la Inmaculada Concepción au palais du Pardo près de Madrid María del Carmen Martínez-Bordíu y Franco, ( 7 ), née le 26 février 1951 au palais du Pardo près de Madrid, divorce définitivement prononcé le 9 mai 1983 ( recours rejeté le 5 septembre 1983 par la Première Chambre du Tribunal Suprême de Madrid ) ( 8 ) et annulation religieuse prononcée le 16 décembre 1986 par le Tribunal Ecclésiastique de la Rote de Madrid avec ratification en octobre 1987 par le tribunal de Première Instance n° 23 de Madrid, [ remariée à 2° : civilement le 11 décembre 1984 en la mairie de Rueil-Malmaison, Hauts-de-Seine ( France ) Jean-Marie Rossi, antiquaire rue du Faubourg-Saint-Honoré à 75008 Paris ( boutique " Aveline " ), né le 18 novembre 1930 à 75016 Paris, séparation annoncée en septembre 1994 puis divorce le 20 juin 1995 en France, fils d' Auguste Rossi, industriel, et de Fanny-Germaine Champlon ], fille de Cristóbal Martínez y Bordíu devenu Cristóbal Martínez-Bordíu, 10ème marquis de Villaverde, et de Carmen Franco y Polo, 1ère duchesse de Franco ( 9 ), ( 10 )

De



Décédé ( e )

30 janvier 1989 sur une piste de la station de sport d' hiver de Beaver Creek à Vail, Avon comté d' Eagle, Colorado ( U.S.A. ) [ dans un accident de ski durant les championnats du monde de ski ( 11 ) ]

Inhumé ( e )

D' abord transfert de la dépouille par avion à l' aéroport de Madrid-Barajas le 1 février 1989 puis transfert au monastère des Descalzas Reales à Madrid, obsèques " corpore in sepulto " célébrées le 2 février 1989 en l' église du monastère des Descalzas Reales à Madrid ( ou monastère royal des Clarisses déchaussées ) ( 12 ), puis inhumation ( 13 ) durant les obsèques sous une dalle de marbre blanc en l' église du monastère des Descalzas Reales à Madrid devant l' autel de la chapelle de l' Inmaculada Concepción, bas-côté gauche de l' édifice religieux, ( 14 )

Enfant ( s ) légitime ( s )

  1. Francisco, duc de Bretagne puis de Bourbon
  2. Luis Alfonso, duc de Touraine puis duc de Bourbon, roi titulaire légitimiste de France et de Navarre sous le nom de Louis XX avec le titre de duc d' Anjou

Enfant ( s ) naturel ( s )



Source ( s ) et Remarque ( s )

Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.157, 158, 159, 160, 161 et 162

( 1 ) Il reconnaît le réglement successoral voulu par le général Franco en faveur de son cousin germain de la branche cadette dynaste l' infant Juan Carlos d' Espagne le 23 juillet 1969 ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.157 )

( 2 ) Date de la naissance de son fils aîné Francisco, décret publié au Boletín Oficial del Estado ( = B.O.E. ) le 25 novembre 1972 ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.157 )

( 3 ) Président de la Fédération Espagnole de Ski à partir de février 1973 il avait présidé le Comité Olympique Espagnol de 1984 à 1987 [ il doit renoncer à cette charge en février 1987 car son rôle est controversé, il conserve sa charge jusqu' en mai 1987, ( … ) ( charge élective de 3 ans ) ] avant de devenir membre du conseil de la Fédération Internationale de Ski et membre du Comité Olympique Espagnol. Le duc de Cadix et d' Anjou obtient à Montpellier, Hérault ( France ) en janvier 1988 la nationalité française et possède donc à partir de ce moment la double nationalité française et espagnole. Il travaille à cette époque comme cadre au Banco Exterior de España ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.157, 158 et 161 )

( 4 ) Alfonso de Borbón initie ses études tout d' abord en Italie puis en Suisse où il passe son baccalauréat. En septembre 1954, il quitte la Suisse pour l' Espagne avec son frère Gonzalo et, ne parlant que le français et l' italien, apprend l' espagnol. Il poursuit des études de droit à l' université de Deusto à Bilbao jusqu' en 1958 puis à l' université de Valladolid puis enfin à l' Universidad Complutense de Madrid ( section Institut de Sciences Politiques ). Il fait son service militaire dans la milice aérienne universitaire espagnole. En 1960, il fait, ainsi que son frère cadet Gonzalo, un procès à son père le duc de Ségovie pour dilapidation de la fortune familiale avec sa seconde épouse. Avocat, il travaille à partir de 1964, date de la fin de ses études, comme cadre ( directeur d' une division " leasing " ) au Banco Exterior de España et vice-président de la Chambre de Commerce italienne en Espagne puis il est nommé ambassadeur d' Espagne en Suède du 5 décembre 1969 ( … ) à 1973. Président de l' Institut de la Maison de Bourbon ( organe des légitimistes de France ) ( … ). Il fut élu membre des Cincinnati de France en tant que plus proche parent du roi Louis XVI. Le duc de Cadix et d' Anjou cumule ensuite les fonctions de président de la Fédération Espagnole de Ski à partir de février 1973, de président de l' Institut de la Culture Hispanique du 27 juillet 1973 à 1977, de président de la Fédération Espagnole des Sports d' Hiver ( Federación Española de Deportes de Invierno ) à partir de 1977 ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.159 et 160 )

( 5 ) Le prince Henri de France, comte de Mortain ( anciennement titré comte de Clermont ), fils aîné du comte de Paris, soutenu par le prince Ferdinand de Bourbon-Siciles, duc de Castro ainsi que par le prince Sixte de Bourbon-Parme, intente au duc de Cadix et d' Anjou un procès près le tribunal de Grande Instance de Paris le 16 novembre 1988 pour port illégal du titre de duc d' Anjou ainsi que des pleines armes de France ( trois fleurs de lys sur fond d' azur ). Le tribunal, à l' issue des plaidoiries ( … ), demande dès le 16 novembre 1988 un mois de réflexion; en conséquence, le verdict est prononcé le 21 décembre 1988 par le tribunal de Grande Instance de Paris lequel déclare qu' une juridiction républicaine ne peut trancher ce différend sous-tendant une rivalité dynastique et ne peut donc donner raison au plaignant qui est débouté. Le comte de Mortain fait appel ( de ) ce jugement mais la mort du duc de Cadix et d' Anjou interrompt la procédure. Toutefois le prince Henri de France, comte de Mortain fait appel devant la cour d' appel de Paris le 22 mars 1989 contre Luis Alfonso de Borbón, fils du défunt, lequel mineur, est représenté par sa mère et tutrice Madame María del Carmen Rossi, jugement rendu le 22 novembre 1989 : la cour d' appel de Paris ne se reconnaît pas le droit d' interdire le port du titre de duc d' Anjou ni l' usage des armes pleines de France à don Luis Alfonso de Borbón; d' autre part, la cour d' appel de Paris estime que le comte de Mortain n' étant pas le chef de sa maison, il ne peut intervenir légalement en lieu et place de son père Monseigneur le comte de Paris seul représentant de sa branche apte à défendre les droits de sa maison ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.162 )

( 6 ) Par le cardinal Pacelli ( futur pape Pie XII, pape de 1939 à 1958 )

( 7 ) María del Carmen Martínez-Bordíu y Franco présente à partir de février 1990 une série de télévision hebdomadaire sur la mode sur la chaîne de télévision Antena 3 TV à Madrid ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E :Le royaume d' Espagne, vol III p.162 )

( 8 ) Séparation effective du duc et de la duchesse de Cadix et d' Anjou en juillet 1979 bien que l' époux ait proposé la réconciliation en juin 1979 à sa femme qui la refusa. Début des formalités de séparation légale et de demande d' annulation religieuse près le Saint-Siège en septembre 1979 ( le duc de Cadix et d' Anjou fait la demande d' annulation religieuse auprès du tribunal ecclésiastique de Madrid le 2 octobre 1979 ). Séparation, pour cause de défaut de consentement réel en 1972 lors du mariage et de grave difficulté de vie en commun, demandée par l' épouse le 7 octobre 1979 après la séparation de fait, prononcée le 16 novembre 1979 à Madrid et certifiée par ( … ) ( le ) notaire-secrétaire du tribunal ecclésiastique n° 3 de l' archevêché de Madrid-Alcalá ( Pasa 1 - 3, Madrid 12 ). Actes du procès de séparation conjugale n° 1.482 / 79 fournis par l' épouse. Les démarches d' annulation se poursuivent religieusement auprès du tribunal de la Rote à Madrid et civilement auprès du tribunal de Première Instance ( seuls tribunaux de la Rote dans le monde : Vatican et Madrid ). Garde des enfants par l' époux décidée par acte notarié de séparation signé le 6 novembre 1979 devant notaire ( à ) Madrid ( … ) sous le numéro de son protocole courant général 2.701. Hors des périodes scolaires la mère aura la garde des enfants si elle le désire ( la mère, vivant à Paris, a demandé à ce qu' ils aient une éducation purement espagnole ). Demande de divorce déposée par l' épouse, ( … ), le 8 novembre 1981 puis divorce prononcé par le juge de Première Instance n° 25 ( Juzgado de Familia n° 25 de Madrid ) de Madrid le 24 mai 1982 à Madrid. Toutefois, le duc de Cadix et d' Anjou fait aussitôt appel de cette sentence de divorce, ( … ), devant la Première salle de l' audience territoriale de Madrid, le jugement de divorce devra donc avoir lieu à nouveau. La dissolution religieuse de cette union est toujours en cours à la demande du duc de Cadix et d' Anjou auprès du tribunal de la Rote espagnol mais l' épouse fait appel au jugement de nullité religieuse le 26 mars 1982. Révision et confirmation du divorce devant le président de la Première Chambre d' audience territoriale de Madrid le 9 mai 1983 ( … ). La sentence de ce divorce est prononcée le 14 mai 1983 et notifiée définitivement le 20 mai 1983. A la suite de cette sentence du 9 mai 1983, le duc de Cadix et d' Anjou a la garde des enfants et reçoit une pension alimentaire correspondante durant la période scolaire de l' année ( dix mois ) afin que les enfants puissent recevoir une éducation espagnole, la responsabilité des deux enfants, patria potestad ( = autorité parentale ), étant cependant confiée aux deux parents. La nullité religieuse de l' union, demandée par le duc de Cadix et d' Anjou, est en cours. Le divorce civil devient inappelable, selon la juridiction espagnole, la semaine suivant la décision définitive du 9 mai 1983. Au terme du divorce María del Carmen Martínez-Bordíu y Franco peut conserver le titre de duchesse de Cadix si elle le désire. La Première Chambre du Tribunal Suprême de Madrid rejette le 5 septembre 1983 le recours, demandé par le duc de Cadix et d' Anjou, à la sentence de divorce des époux prononcée le 9 mai 1983. Annulation religieuse prononcée le 16 décembre 1986 par le Tribunal Ecclésiastique de la Rote de Madrid avec ratification en octobre 1987 par le tribunal de Première Instance n° 23 de Madrid ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.159 )

( 9 ) Elle-même fille du général Francisco Franco y Bahamonde, chef de l' Etat espagnol de 1936 / 1939 à 1975 ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.158 )

( 10 ) Selon ses proches, le duc de Cadix et d' Anjou comptait annoncer à son retour du Colorado en février 1989 ses fiançailles avec l' archiduchesse Constance d' Autriche ( … ), fille de l' archiduc Charles Louis d' Autriche et de la princesse Yolande de Ligne, née le 19 octobre 1957 au château de Belœil ( Belgique ). La cérémonie du mariage aurait été prévue fin avril 1989 en la cathédrale Notre-Dame de Paris ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.162 )

( 11 ) L' accident ayant causé la mort du duc de Cadix et d' Anjou s' est produit sur le parcours de descente masculine, alors fermé, où devaient se produire les championnats du monde de ski; en effet, la piste incriminée était alors fermée car le jury de la compétition avait décidé de déplacer la ligne d' arrivée afin d' offrir plus d' espace de freinage aux skieurs mais le duc de Cadix avait obtenu l' autorisation d' essayer cette piste en descente de reconnaissance officielle en sa qualité de membre du conseil de la Fédération Internationale de Ski, avant que ne commencent les épreuves proprement dites le lendemain, et dévalait la pente à très vive allure lorsqu' il heurta violemment un des deux câbles d' acier de 4 millimètres d' épaisseur tendus entre deux poteaux et destinés à recevoir la nouvelle banderole " Arrivée ". Le câble s' est en effet rompu au moment du passage du duc, le heurtant violemment à la hauteur de la poitrine puis montant aussitôt à la gorge; il succomba aussitôt d' une section de l' artère carotide ( cou sectionné jusqu' à la moitié ) ainsi que d' une fracture du crâne, mort pratiquement immédiate. Le duc de Cadix et d' Anjou avait descendu la piste fatale comme skieur officiel en compagnie de Toni Sailer, ex-champion autrichien olympique de ski et de son épouse lesquels se rendront compte de l' obstacle et l' éviteront en essayant de prévenir le duc en vain, il ne s' en rendra pas compte ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.157 )

( 12 ) Par le père Gregorio Isabel Gómez

( 13 ) Lieu d' inhumation choisi par le duc de Cadix et d' Anjou lui-même de son vivant et ayant obtenu l' accord du roi Juan Carlos I dès la mort de l' intéressé ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.158 )

( 14 ) Le testament manuscrit du duc de Cadix et d' Anjou est ouvert devant le Juzgado de Primera Instancia n° 9 de Madrid le 13 avril 1989 ( … ). Dans ce testament rédigé le 10 mai 1984, le duc de Cadix et d' Anjou désigne son fils Luis Alfonso comme légataire universel ( son fils aîné Francisco, 1972 - 1984, venant de mourir trois mois auparavant ) avec pour tutrice et usufruitière des biens meubles et immeubles jusqu' à sa majorité légale ( 18 ans ), c' est-à-dire jusqu' au 25 avril 1992, la grand-mère paternelle de l' enfant en la personne d' Emanuela de Dampierre, duchesse de Ségovie. Par ce testament, le duc de Cadix et d' Anjou demande à son fils Luis Alfonso de poursuivre la tradition familiale dès qu' il deviendra le chef de la maison de Bourbon à la mort de son père, Luis Alfonso devant tenir compte des conseils des légitimistes français ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : Le royaume d' Espagne, vol III p.162 )


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