Philippe prince d' Orléans, roi titulaire de France et de Navarre ( Philippe VII ), comte de Paris



Fiche.type.C.E.D.R.E.Capétiens.divers



Capétiens divers

Philippe VII prince d' Orléans, roi titulaire de France et de Navarre, comte de Paris, ( 1 )

Père



Mère



Enfant ( s ) légitime ( s )

  1. Amélie, princesse d' Orléans ( 2 )

Enfant ( s ) naturel ( s )



Notes

( 1 ) Le Second Empire ayant été balayé par la guerre franco-prussienne de 1870 et la IIIème République française proclamée le 4 septembre 1870 étant à ses débuts de tendance royaliste la loi du 8 juin 1871 votée à l' assemblée par 472 voix contre 97 voix abroge les lois d' exil des 10 avril 1832 et 26 mai 1848 permettant ainsi à tous les membres des maisons souveraines françaises tant les Bourbon de la branche aînée que ceux de la branche cadette d' Orléans de résider en France l' empereur des Français Napoléon III et sa famille résidant de facto hors de France ( en Grande-Bretagne ) depuis la défaite de 1870. A partir de l' extinction de la descendance de l' empereur des Français Napoléon III en la personne du Prince Impérial en 1879 la branche devenue aînée des Bonaparte issue de Jérôme Bonaparte ( 1784 - 1860 ) résidera également en France où la IIIème République française s' enracine peu à peu toutefois les tapageuses fêtes données le 15 mai 1886 en l' hôtel Matignon à Paris par le comte de Paris, roi titulaire Philippe VII roi de France en l' honneur des fiançailles de sa fille la princesse Amélie d' Orléans ( 2 ) avec le prince royal de Portugal, futur roi Charles I de Portugal et des Algarves ( roi de 1889 à 1908 ), vont provoquer le décret républicain français du 22 juin 1886 exilant de France les chefs des maisons souveraines ayant régné sur la France tant Orléans que Bonaparte [ la branche aînée de la maison de Bourbon s' étant éteinte en 1883 en la personne du comte de Chambord, roi Henri V de France et de Navarre ( 3 ) n' est plus concernée ]. Cette loi d' exil concernait les chefs des maisons d' Orléans et Bonaparte ( princes Napoléon ) et leurs fils aînés ( et héritiers ) et non leurs épouses et autres enfants, si cette loi du 22 juin 1886 n' était pas respectée les intéressés étaient sanctionnés de deux à cinq ans de prison avant d' être expulsés du territoire de la république française. La loi d' exil du 22 juin 1886 ne sera abrogée que le 16 mai 1950 par l' Assemblée Nationale française par 314 voix favorables contre 179 voix défavorables puis le 22 juin 1950 par le conseil de la République par 218 voix favorables contre 84 voix défavorables, abrogation de la loi d' exil du 22 juin 1886 par la loi n° 50.728 datée du 24 juin 1950 ( Les Manuscrits du C.E.D.R.E : L' empire des Français, vol I p.46 )

( 2 ) Capétiens divers n° 12

( 3 ) Capétiens divers n° 13

Source ( s ) et Remarque ( s )

Les Manuscrits du C.E.D.R.E : L' empire des Français, vol I p.46


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